Les films de guerre ne se résument pas à des récits de violence et de destruction. Ces oeuvres majeures sont autant de fenêtres ouvertes sur l’Histoire, et sur l’humanité.

Les films de guerre ne se résument pas à des récits de violence et de destruction. Ces oeuvres majeures sont autant de fenêtres ouvertes sur l’Histoire, et sur l’humanité.
Ces films de guerre s'inspirent de faits réels pour nous rappeler que la réalité dépasse souvent la fiction. Préparez-vous à en prendre plein les yeux.
Le cinéma de guerre est sans doute le genre le plus clivant qui soit. À la fois épopée humaine où l’horreur côtoie le sublime, fenêtre sur l’Histoire et miroir de notre humanité, il n’en reste pas moins un spectacle qui divise. D’un côté, les uns lui reprochent son ultra-réalisme, son voyeurisme et sa violence insoutenable. De l’autre, certains y voient une glorification des conflits armés et des hommes qui les mènent.
Dans le panthéon des réalisateurs qui ont redéfini les codes du cinéma, un nom revient invariablement : David Lynch. En 10 films et 50 ans de carrière, l’Américain a bâti une oeuvre singulière à la frontière du rêve et du cauchemar, de la poésie et de l’horreur. Une filmographie unique en son genre, qui continue d’influencer des générations de cinéastes en quête de nouvelles façons de raconter des histoires.
Les aides du CNC font partie des outils les plus puissants pour se financer quand on est un vidéaste ou cinéaste. À condition de s’y retrouver dans les critères d’éligibilité.
Bollywood est sans conteste l’une des industries culturelles les plus fascinantes de notre époque. Mais elle n’a pas toujours été le mastodonte qu’elle est aujourd’hui. On retrace son évolution depuis ses débuts dans les années 1940.
Le cinéma Bollywoodien est-il en train de vivre ses dernières heures de gloire ?
On a classé les 10 meilleurs films de tous les temps. Et on vous explique pourquoi.
Pour vous, on a listé les 50 films cultes à voir au moins une fois dans sa vie.
En 2023, on vous expliquait pourquoi Alain Delon est l’une des plus grandes icônes du film policier. On vous parlait de son "jeu d’acteur", de ses "collaborations mythiques" et de "l’anti-héros parfait". Sauf qu’on en avait oublié un détail : il est très probablement (et de très loin) le pire être humain à avoir jamais foulé un plateau de tournage. Les révélations de Mediapart et Libé sont venues nous le rappeler.